Le saviez-vous ?

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7’’ suffisent à attirer l’attention

Une bonne et une mauvaise nouvelle

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La mauvaise nouvelle ? Notre culture ne nous prépare pas à la prise de parole en public. Je dirai même plus...Elle creuse le fossé entre nos capacités réelles et ce que nous donnons à voir…

La bonne nouvelle ? La prise de parole cela s’apprend.

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Prendre la parole,
C’est prendre le risque d’être ridicule
C’est prendre le risque de passer pour quelqu’un de sentimental
C’est prendre le risque de s‘engager
C’est prendre le risque de dévoiler ses rêves devant les autres,
C’est risquer le rejet...
D’essuyer un échec
C’est prendre le risque d’être incompris

Mais la parole est faite pour être prise
Et les risques pour être pris
Car sans risque, la vie ne vaut pas la peine d’être vécue
Et le pire piège est de rester figé
Qui ne risque rien n’a rien, ne fait rien, n’est rien

Ceux qui ne prennent pas de risques ressentent peut-être
Moins la souffrance, le chagrin
Mais il leur est aussi impossible d’apprendre, de changer,
D’évoluer, d’aimer, de vraiment vivre

 

Comment ?

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OSONS !
Aborder et faire évoluer nos pratiques
Découvrir l’immense puissance du pitch
Nous autoriser le droit à l’erreur, la fausse note
Privilégier la juste expression
Perfectionner nos basiques

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ENTRAINONS-NOUS ! PRATIQUONS LES BASIQUES

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• J’applique des règles de base

Correctement travaillées, ces règles de base vont nous permettent de nous révéler, de croire en nous et progressivement prendre du plaisir à parler à un public.

Je me concentre sur ma respiration (connais-tu la respiration carrée ?), je suis vigilant à ma posture, je pose ma voix, j’énonce mes dires avec conviction, authenticité, plaisir.

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• Je définis le message

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« Quel est mon message ? Qu’est-ce que je veux transmettre, en termes de message et d’énergie ? ».

« Je dispose de 7’’ pour susciter la question « comment fais-tu cela ? » 

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• Je construis le développement au service du message

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Pour construire une belle intervention, il faut revenir à son essence, à son P.P.D.C : Plus Petit Dénominateur Commun et coucher sur le papier toutes les idées, informations, faits, chiffres, citations qui viennent à l’esprit. Comme le sculpteur rassemble son argile, sans a priori, en toute liberté.

Je sculpte de façon à créer une cohérence, un mouvement… une histoire. Il ne faut garder que ce qui fait sens pour l’histoire.

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• Je vais à la rencontre du public

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Si tu prends la parole, honore ton monde et aussi celui de ceux qui t’écoutent, mieux, crée la rencontre. Rends ta pensée, ta parole intelligibles et accessibles à l’auditeur. Mets-toi à la place de l’autre, laisse émerger ton humanité car, comme nous le rappelle le psychologue Américain Carl Rogers, « what is most personal, is most universal » (le plus personnel se révèle être le plus universel).

 

• Je construis enfin l’articulation de mes propos, la trame, puis je la mémorise.